Investir en Outremer et sécuriser son placement

Guillaume est un professeur de physique chimie dans une université à Paris. Il souhaite préparer sa retraite et décide d’investir en Outremer. Il opte alors pour l’investissement sous le dispositif Girardin industriel afin de bénéficier d’une importante réduction d’impôt.

Mise en location d’un matériel industriel

Pour cela, Guillaume contracte un prêt auprès d’un organise de crédit, et ce, afin de financer l’acquisition d’un matériel industriel destiné à être exploité par une entreprise en outremer. Guillaume choisit d’acquérir un camion qu’il mettra en location auprès d’une entreprise œuvrant dans le domaine agricole. En effet, tous les secteurs ne sont pas éligibles à la loi Girardin. La durée de l’investissement est alors de 5 ans. Par ailleurs, Guillaume et l’entreprise auprès de laquelle il investit ainsi que l’organisme de crédit souscrivent au capital d’une société en nom collectif, une SNC, ou auprès d’une société par actions simplifiées, une SAS. L’investissement de Guillaume étant inférieur à 250 000 euros, il bénéficie d’une défiscalisation de plein gré. En revanche, pour ceux dont la mise excède les 250 000 euros, un agrément des autorités est requis.

Un spécialiste pour accompagner l’investisseur

Afin de sécuriser son placement, Guillaume décide de souscrire à la loi girardin outre mer avec le groupe profina. Celui-ci est un monteur de dossier juridique depuis 1994 et propose de multiples avantages, dont les garanties : ce sont les garanties juridiques, financières, de gestion ou encore la garantie du risque locatif. En effet, le montage présente des risques en raison de la précarité financière des entreprises auprès desquelles le placement est réalisé. Par ailleurs, la gestion des SNC et des SAS est pris en main par la filiale COFAG du groupe, laquelle se charge ensuite de procéder à leur dissolution ainsi qu’à leur liquidation au terme de la période d’engagement.

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