La loi Girardin industriel est un des instruments les plus efficaces pour générer de la réduction d’impôt. La souscription à ce dispositif est d’ailleurs recommandée aux contribuables à forte imposition, dont l’IR est de l’ordre de 2 500 euros à 3 000 euros par an au moins. Toujours est-il que le montage des opérations qui y sont rattachées est relativement complexe et que les risques sont au rendez-vous. Il est donc important de prendre les précautions requises avant de décider de se lancer.
Rappelons que toutes les opérations sont réalisées dans les DROM COM, tandis que tous les contribuables ayant leur résidence fiscale en France sont éligibles à cet outil défiscalisant.
Le choix du monteur Girardin est le critère principal à considérer avant tout investissement. Il endosse en effet plusieurs missions. Par exemple, il est celui sur qui repose le succès et la pérennité des opérations, lesquelles doivent d‘ailleurs tenir la route sur une durée ferme de 5 ans qui est la période de portage exigée pour la loi Girardin industriel. Plusieurs critères doivent ainsi être pris en compte dans le choix de ce dernier : son expérience et sa connaissance de la conjoncture de chaque DROM COM, la détention d’une assurance responsabilité civile, l’aptitude professionnelle pour chaque dirigeant et associé afin de garantir la tenue de route, quels que soient les risques et les éventuels blocages rencontrés en cours de route. Le monteur Girardin proposera également différentes garanties : à découvrir avec le groupe Profina, spécialiste des opérations en outremer depuis 1994.
C’est aussi le monteur Girardin qui se charge de la continuité des opérations en cas de défaillance de l’entreprise auprès de laquelle les opérations s’articulent. Pour rappel, cette dernière, basée en outremer, loue le matériel ou le bien d’équipement neuf qui a été acquis par l’investisseur dans le cadre de son développement. La relocation du matériel est donc déterminant et c’est le rôle du monteur Girardin de garantir la continuité de l’exploitation.
